Le Lavoir
moderne, c’est un lieu de création, d’expression artistique, où sont
possibles des évènements, des découvertes, qui participent de la construction
de notre culture commune et plurielle.
Indépendant des institutions et de la course marchande à la rentabilité financière, c’est un de ces espaces comme il en existe trop peu, et tous ces espaces sont menacés par la loi du fric roi, qui veut que tout mètre carré urbain, tout acte artistique, soit rentabilisé par ses promoteurs. Les « pouvoirs publics », de la Mairie de Paris au Ministère de la culture, sont interpellés, pour que le quartier populaire et multiculturel de la Goutte d’Or ne perde pas son âme : ne laissons pas sacrifier Le Lavoir Moderne sur l’autel du Veau d’or !
Indépendant des institutions et de la course marchande à la rentabilité financière, c’est un de ces espaces comme il en existe trop peu, et tous ces espaces sont menacés par la loi du fric roi, qui veut que tout mètre carré urbain, tout acte artistique, soit rentabilisé par ses promoteurs. Les « pouvoirs publics », de la Mairie de Paris au Ministère de la culture, sont interpellés, pour que le quartier populaire et multiculturel de la Goutte d’Or ne perde pas son âme : ne laissons pas sacrifier Le Lavoir Moderne sur l’autel du Veau d’or !
C’est hier soir que la lettre d’Hervé Breuil, en grève de la
faim, nous a été lue par sa fille, lors de la soirée du quinzième anniversaire
de Cassandre Hors champ.
J’avais décidé de m’abonner à cette revue et de la soutenir de tous mes modestes moyens en janvier dernier, en découvrant, dans la préparation de la soirée Nanterroms, leur magnifique publication : « L’autre, sans qui je meurs » (ce numéro est toujours disponible en version numérique).
Et puis j’ai apprécié la présence de Nicolas Romeas, de Valérie de Saint-Do , dans le premier forum du Front de gauche sur la culture, et dans des débats au Festival d’Avignon, porteurs des exigences fortes et indispensables de l’appel Impossible absence à l’adresse des politiques.
J’avais décidé de m’abonner à cette revue et de la soutenir de tous mes modestes moyens en janvier dernier, en découvrant, dans la préparation de la soirée Nanterroms, leur magnifique publication : « L’autre, sans qui je meurs » (ce numéro est toujours disponible en version numérique).
Et puis j’ai apprécié la présence de Nicolas Romeas, de Valérie de Saint-Do , dans le premier forum du Front de gauche sur la culture, et dans des débats au Festival d’Avignon, porteurs des exigences fortes et indispensables de l’appel Impossible absence à l’adresse des politiques.
C’est comme ça qu’hier j’ai eu la chance d’assister à l’anniversaire de l’adolescente Cassandre Hors Champ. De l’hommage à Léo Figuères à Malakoff au Théâtre Sylvia Monfort, il n’y a eu que le Périph et le Boulevard des Maréchaux, pas de mur ni frontière, à franchir. La soirée a été un évènement vivant comme la revue, une mise en commun de tous les arts, de tous les symboles, de toutes les résistances, de tous les improbables, de tout ce qui fait que l’émancipation humaine est possible. Mais l’équipe de la revue de « l’art principe actif » nous donnera sans doute, mille fois mieux que je ne saurais le faire, de quoi revivre et poursuivre cette belle aventure.
Aujourd’hui, l’urgence, c’est de sauver le Lavoir Moderne Parisien
!
Une interview à diffuser : http://www.youtube.com/user/horschamptv#p/a/u/0/HjSsDgxNwRM
Une pétition en ligne à signer : http://www.rueleon.net/goutte-or.php?Id=147
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