Vendredi 20 mai, la FCPE organise dans de nombreux
établissements (écoles, collèges, lycées) une nuit des écoles, temps forts d’actions
locales contre les suppressions de classes, de postes de professeurs et de débats de proximité. Une
pétition nationale exige un collectif budgétaire.
Dans au moins deux villes des Hauts-de-Seine, des
manifestations sont organisées, soutenues par les élu-es de gauche, avant les rencontres de la soirée organisées dans des établissements. Le Collectif Education Bagneux donne rendez-vous à 18
heures angle de la RN20 et de la rue Victor Hugo. A Nanterre, une manifestation partira à 17
heures de l’Inspection académique, devant la Préfecture, et traversera la ville
pour se rendre au Centre d’Information et d’Orientation, dont le regroupement
avec celui de Rueil, décidés par le Conseil général, gestionnaire des locaux, inquiète les personnels et les familles, qui ne croient pas
à sa réouverture promise dans un an. Dans cette ville, un réseau annonce même
une journée « école morte et en deuil », appelant les parents à ne
pas envoyer leurs enfants au collège et au lycée, à occuper les écoles, et à se
retrouver après la manifestation pour une « nuit des écoles » et une « nuit
de l’orientation au CIO ».
Le 7 avril, des enseignants et des parents du département s'étaient retrouvés plus de 500 devant les grilles de la Préfecture de Nanterre. |
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