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| La FSU dans une manifestation syndicale unitaire en octobre 2011 |
PESER ENSEMBLE POUR
UNE VERITABLE RUPTURE
Après les premières
mesures qui amorçaient une rupture avec la politique du précédent Gouvernement, les récentes
déclarations présidentielles marquent un « changement » de cap
inquiétant. La mise en place d’une politique d’austérité est sans
ambiguïté : réduction du déficit budgétaire à 3% du PIB, ponction fiscale
aggravée sur les ménages, transfert sur la CSG d’une partie du financement de
la protection sociale…
En face d’une situation économique et sociale qui ne cesse de se dégrader dans de nombreux pays européens comme en France, le Gouvernement renonce à une politique de relance fondée sur la croissance et l’emploi, thème central de la campagne électorale. Il fait le choix d’un renforcement de l’austérité, politique qui donne déjà en Europe toute la mesure de ses effets ravageurs.
Le Traité européen (TSCG) que le Président Hollande veut soumettre dès octobre à la ratification du Parlement alors qu’il s’était engagé à le renégocier une fois élu, condamnera, s’il est adopté, les pays de l’UE à l’austérité, imposera la règle d’or de l’équilibre budgétaire, limitera les marges de souveraineté budgétaire du Parlement et fera de nouveau de la dépense et des emplois publics les coûts à réduire impérativement dans le budget de la nation.
Parce que ces contraintes budgétaires auront des conséquences ravageuses sur les choix de politique éducative et sur nos métiers, le SNES et la FSU ont décidé de s’engager dans une campagne contre la ratification du TSCG.
En face d’une situation économique et sociale qui ne cesse de se dégrader dans de nombreux pays européens comme en France, le Gouvernement renonce à une politique de relance fondée sur la croissance et l’emploi, thème central de la campagne électorale. Il fait le choix d’un renforcement de l’austérité, politique qui donne déjà en Europe toute la mesure de ses effets ravageurs.
Le Traité européen (TSCG) que le Président Hollande veut soumettre dès octobre à la ratification du Parlement alors qu’il s’était engagé à le renégocier une fois élu, condamnera, s’il est adopté, les pays de l’UE à l’austérité, imposera la règle d’or de l’équilibre budgétaire, limitera les marges de souveraineté budgétaire du Parlement et fera de nouveau de la dépense et des emplois publics les coûts à réduire impérativement dans le budget de la nation.
Parce que ces contraintes budgétaires auront des conséquences ravageuses sur les choix de politique éducative et sur nos métiers, le SNES et la FSU ont décidé de s’engager dans une campagne contre la ratification du TSCG.


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