La Ferme géante de Nanterre, c’est devenu un grand évènement
commercial, pédagogique et citoyen. L’émerveillement des petits Nanterriens
découvrant en vrai toutes les bêtes de la ferme, avec leur école ou en famille,
fait plaisir à voir. Je crois, sans rien
ôter à la beauté des volailles, des caprins, ovins et autres bovins, que ce sont
les chevaux de trait qui ont le mieux disputé aux vaillants petits ânes les
plus nobles conquêtes citadines. Côté gastronomie, artisans du fromage ou de la
charcuterie, apiculteurs récoltants, boulangers et pâtissiers, confiseurs,
étalaient leurs gourmandises non loin des stands – façon « soupe aux
cailloux »-, d’associations militant pour le commerce équitable et
solidaire. Une solidarité sans frontières, avec la présence d’une coopérative
palestinienne ou celle de créatrices des cachemires solidaires de Mongolie (1). Une militance
citoyenne sympathique, avec des impromptus, comme la déambulation de militants
du Front de gauche à Nanterre distribuant leur tract : Pas de pays sans
paysans. Un cœur de ville où la cathédrale voit son parvis changé en champ
de foire, où l’on danse et déguste le méchoui, où l’on peut s’initier aux
mystères de l’Arche de Noé, avant de goûter aux charmes dionysiaques et rabelaisiens
de la Ferme du bonheur.
(1) découverte coup de coeur : Saranguarel, Clair de Lune en Mongol, est le prénom de la créatrice, fille des steppes, et le nom de la marque. Une visite sur son site est une bonne idée avant les cadeaux...
(1) découverte coup de coeur : Saranguarel, Clair de Lune en Mongol, est le prénom de la créatrice, fille des steppes, et le nom de la marque. Une visite sur son site est une bonne idée avant les cadeaux...
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